La détresse des étudiants alarme parents, enseignants, syndicats et associations. Entre le stress de la précarité induite par la fin des petits boulots, l’isolement, le travail à distance, les angoisses de l’avenir, l’impossibilité de se retrouver entres ami(e) pour décompresser et lâcher prise en faisant la fête… nombreux sont ceux qui craquent, certains avec des idées suicidaires. Même si les initiatives positives se multiplient pour les accompagner, 73% des jeunes se disent profondément affectés sur le plan psychologique et affectif, voir physique. L’université de Paris-Saclay a même mis en place une ligne d’écoute psychologique nocturne et gratuite.
Echanger avec des psychologues et les professionnels du mieux-être est plus que jamais une recommandation bienveillante de l’encadrement. Des séances spécifiques sont mises en place pour aider ces jeunes en souffrance et les aider à surmonter cette crise et envisager un avenir positif.